Information scientifique

Les citations suivantes de revues scientifiques confirment les avantages de l’utilisation d’un vaporisateur. Nous avons également ajoutés quelques exemples d’articles scientifiques sur l’utilisation du cannabis pour buts médicales. Il faut cependant remarquer que beaucoup de ces enquêtes n’ont pas utilisées un vaporisateur mais des joints et, par conséquence – bien que les chercheurs peuvent confirmer l’efficacité des cannabinoïdes – ils souvent découragent l’utilisation du cannabis a cause de la nocivité de la fumée. De nombreux chercheurs ont également nommée la psychoactivité du cannabis comme un effet indésirable, mais nous pensons que cela est quelque chose que les patients doivent décider pour eux-mêmes.

Vaporizers

Evaluation d’un dispositif de vaporisation (le Volcano) pour l’administration pulmonaire de tétrahydrocannabinol:

« Ce qui est actuellement nécessaire pour une utilisation optimale de cannabinoïdes médicinales, est un système de livraison – sans-fumée – avec résultat immédiat. La vaporisation de cannabis est une technique visant à supprimer les toxines nocifs pour le système respiratoire, en chauffant le cannabis à une température où de la vapeur avec des cannabinoïdes actifs est formées, sans arriver au point de combustion où de la fumée et des toxines sont produites. L’objectif de cette étude était d’évaluer la performance du vaporisateur Volcano en termes de livraison reproductible du cannabinoïde tétrahydrocannabinol (THC) en utilisant des préparatifs de cannabinoïdes pure, afin qu’ils puissent être utilisés dans un test clinique. En modifiant des paramètres tels que la température, le type d’échantillon de vaporisation et le volume du ballon, la vaporisation de THC a été systématiquement amélioré à son maximum, tout en évitant la formation de sous-produits du THC, comme le cannabinol ou le THC-delta-8. La variabilité inter-et intra- dispositif a été testé ainsi que la relation entre les dose chargés et les doses délivrées. Il a été constaté que, en moyenne, environ 54% du THC chargé a été livré de façon reproductible dans le ballon du vaporisateur. Lorsque le vaporisateur a été utilisé pour une administration clinique de THC inhalé, il a été constaté qu’en moyenne 35% de THC inhalé est directement expiré. Nos résultats montrent qu’avec le volcano un système efficace et sécurisé de livraison de cannabinoïdes semble être à la disposition des patients. L’absorption pulmonaire finale de THC est comparable à celle de fumer du cannabis, tout en évitant les inconvénients du tabagisme pour le système respiratoire. »

Source: Interscience

Diminution de symptômes respiratoires chez les usagers de cannabis vaporisé:

« Fumer du cannabis peut créer des problèmes respiratoires. Les vaporisateurs chauffent le cannabis pour libérer les cannabinoïdes actifs, tout en restant assez froids pour éviter la fumée et les toxines liés à la combustion. Le cannabis vaporisé devrait créer moins de symptômes respiratoires que le cannabis fumé. Nous avons examiné des symptômes respiratoires auto-déclarés chez des participants – classifiés par utilisation de cigarettes et de cannabis. Les données d’un large échantillon d’internet a révélé que l’utilisation d’un vaporisateur prédit moins de symptômes respiratoires, même quand l’âge, le sexe, le tabagisme et la quantité de cannabis utilisés ont été prises en compte. L’âge, le sexe, les cigarettes, et la quantité de cannabis ont également des effets importants. Le nombre de cigarettes fumées et la quantité de cannabis utilisée interagissent pour créer des pires problèmes respiratoires. Une interaction significative a révélée que l’impact d’un vaporisateur était plus important avec une utilisation de cannabis augmentée. Ces données suggèrent que la sécurité de cannabis peut augmenter avec l’utilisation d’un vaporisateur. Les utilisateurs réguliers de joints, blunts, pipes et narguilés pourrait diminuer les symptômes respiratoires en passant à un vaporisateur. »

Source: Harm Reduction Journal

Cannabis

Cannabis vs fumée de nicotine :

 » Plus en plus de gens utilisent la plante de cannabis, pendant que la science clinique réaffirme et étend ses utilisations médicinales, Parallèlement, de l’inquiétude et de l’opposition à la médecine fumée a eu lieu, en partie pour raison de conséquences cancérogènes connus du tabac fumer. Est-ce que ces réactions sont justifiées? Chimiquement très similaire, il existe des différences fondamentales dans les propriétés pharmacologiques entre le cannabis et la fumée de tabac. La fumée de cannabis contient des cannabinoïdes pendant que la fumée de tabac contient de la nicotine. Les données scientifiques disponibles, qui examinent les propriétés cancérigènes de l’inhalation de fumée et de ses conséquences biologiques, suggère des raisons pour lesquelles la fumée du tabac, mais pas la fumée de cannabis, peut résulter au cancer du poumon. »

Source: Harm Reduction Journal

Les applications médicales du cannabis:

« Pendant de nombreuses années, les enthousiastes de la marijuana affirmaient qu’elle avait des prestations médicales, mais la communauté scientifique était instable – si le gouvernement autorisé même sa recherche. En 1990, CB(1), le premier récepteur de cannabinoïde a été découvert. Ensuite, les cannabinoïdes endogènes – des chimiques produits par le corps qui activent les récepteurs – ont été identifiés, et tout a changé. Le deuxième récepteur cannabinoïde, CB 2), a été découvert en 1993. Alors que CB(2) réside principalement dans le système immunitaire, le CB(1) vie sur les neurones. Roger Pertwee, un expert de cannabis à l’Université d’Aberdeen, a déclaré que le récepteur est « largement distribué dans tout le système nerveux central et le système nerveux périphérique. Ils sont présents en leur plus grande concentration autour de l’hippocampe, le cortex olfactif, les ganglions de la base, le cervelet et la moelle épinière. Ce modèle explique l’effet des cannabinoïdes sur la mémoire, l’émotion, la cognition et le mouvement. »

Source: Whyfiles

Les cannabinoïdes et la douleur:

Le but de cette analyse systématique a été de trouver tous les essais randomisés et contrôlés de l’usage thérapeutique du cannabis dans la réduction de la douleur humaine, puis d’obtenir les meilleures estimations de l’efficacité du cannabis contre des analgésiques conventionnel soit un placebo. Nous avons également cherché des preuves d’effets indésirables (la sécurité). [Notre conclusion était que] les cannabinoïdes donnent à peu près le même niveau de soulagement de douleur que la codéine donne pour la douleur postopératoire acute. »

Source: PubMed

Le cannabis pour les patients du sida (1):

« Le syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA) est une cause fréquente de décès parmi les jeunes adultes aux Etats-Unis, dont le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) est le plus commun. De la thérapie antirétrovirale a amélioré le pronostic des personnes avec le SIDA, mais a également contribué à des effets indésirables, en particulier l’anorexie et des nausées. Des études de cas démontrent que des personnes avec le SIDA utilisent du cannabis comme médicament pour contrôler les nausées, l’anorexie, et la douleur – en expérimentant une amélioration de l’humeur. Des récentes recherches cliniques comparant le cannabis fumé avec du dronabinol prix par voie orale (synthétique de THC ou Marinol) démontrent aucun dysfonctionnement immunitaire dans les personnes ainsi qu’un gain de poids positif lorsque les cannabinoïdes sont comparés à un placebo. Des recherches sur la réduction des risques indiquent que le réchauffement de cannabis à des températures bien en dessous de celle de combustion (“évaporation »), on obtient les cannabinoïdes actifs et une importante réduction ou élimination des substances toxiques (benzène, toluène, naphtalène, monoxyde de carbone, et goudrons), communément trouvée dans le cannabis fumé. Davantage de recherches sont indiquées, mais ils semblent que les vaporisateurs substantiellement réduisent ce qui est largement vu comme le principal risque du cannabis pour la santé, à savoir des problèmes respiratoires a cause du tabagisme. En dépit de la nécessité de recherches scientifiquement contrôlée plus rigoureuses, une augmentation de personnes atteintes du SIDA consomme du cannabis pour contrôler les nausées, augmenter l’appétit, promouvoir la prise de poids, diminuer la douleur et améliorer l’humeur. »

Source: Haworth Press

Le cannabis pour les patients du sida (2):

« Dans son rapportage, Marijuana and Medicine: Assessing the Science Base, publiée plus tôt cette année, l’Institut de médecine a cité les dangers du tabagisme comme un inconvénient majeur. L’OIM a déclaré ’De nombreuses études suggèrent que la marijuana fumée est un important facteur dans le risque de développement des maladies respiratoires. A cause des risques pour la santé associés au tabagisme, de fumer de la marijuana ne devrait généralement pas être recommandé pour un usage médical à long terme.  » L’OIM a proposé que les chercheurs se concentrent sur l’isolement des cannabinoïdes et le développement rapide de système de livraison de cannabinoïdes » Ces systèmes pourraient être similaires aux inhalateurs utilisés pour l’asthme. »

Source: Aids.org

Le cannabis pour les patients sous chimiothérapie:

« Nous avons systématiquement cherchées pour la meilleure preuve d’efficacité et nocivité du cannabis chez les patients sous chimiothérapie. Nous avons examiné s’il existe des preuves que le cannabis soit antiémétique lors de l’administration concomitante avec la chimiothérapie émétisante, comment le cannabis fonctionne dans ce cadre par rapport au placebo ou aux antiémétiques conventionnelles, ainsi que la preuve d’une relation dose-réponse et le profil d’effets indésirables. [Notre recherche a conclu que] les cannabinoïdes sont des antiémétiques plus efficaces que le prochlorpérazine, le métoclopramide, la chlorpromazine, thiethylperazine, l’halopéridol, la dompéridone, ou l’alizapride. Dans tous les tests, les cannabinoïdes ont été plus efficaces que les comparateurs actifs et le placebo. »

Source: PubMed

Cannabinoïdes dans le traitement du glaucome

« La cause principale de cécité irréversible est le glaucome, une maladie normalement caractérisée par le développement d’hypertension oculaire et de lésion du nerf optique au point de la rétine. Il en résulte un rétrécissement du champ visuel, et finalement résulte à la cécité. Un certain nombre de médicaments sont disponibles pour abaisser la pression intra oculaire (PIO), mais occasionnellement elles sont inefficaces ou ont des effets secondaires intolérables pour certains patients et peuvent perdre de l’efficacité avec une administration chronique. Le tabagisme de marijuana a diminué l’IOP dans les glaucomateux. Des médicaments de cannabinoïdes, par conséquent, sont considérés d’avoir un potentiel important pour le développement pharmaceutique. »

Source: ScienceDirect

Cannabinoïdes pour les patients atteints de sclérose en plaques:

« Ici, nous montrons que les récepteurs cannabinoïdes antagonistes (CB) en utilisant les substances R(+)-WIN 55212, delta9-tétrahydrocannabinol, methanandamide et JWH-133 (réf. 8) améliorent quantitativement les tremblements et la spasticité dans des souris malades. L’exacerbation de ces signes après l’antagonisme des récepteurs CB1 et CB2, notamment les récepteurs CB1, en utilisant SR141716A et SR144528 (réf. 8) indique que le système endogène de cannabinoïde peut être actif dans le contrôle des tremblements et de la spasticité. Cela fourni une logique dans l’indication des patients sur le potentiel thérapeutique du cannabis pour le contrôle des symptômes de la sclérose en plaques, et fourni un moyen d’évaluer des cannabinoïdes plus sélectifs dans l’avenir. »

Source: PubMed

Applications Cliniques Emergentes Pour Cannabis & Cannabinoïdes, Une Analyse de la Littérature Scientifique Récente, 2000 – 2008

« Malgré la persistance des débats politiques en ce qui concerne la légalité de la marijuana médicinale, les investigations cliniques de l’utilisation thérapeutique des cannabinoïdes sont maintenant plus fréquentes qu’à aucun autre moment dans l’histoire. Une recherche de la librairie nationale du site de Medicine’s PubMed quantifie ce fait. Une recherche par mot-clé en utilisant les termes  » cannabinoïdes, 1996″ révèle seulement 258 articles de revues scientifiques sur le thème publiés cette année. Effectuez la même recherche pour l’année 2007, et vous trouverez plus de 3400 études scientifiques publiées.

Quoique la plupart de l’intérêt renouvelé dans les cannabinoïdes thérapeutiques soit une suite de la découverte du système régulateur des endocannabinoïds, une partie de cette plus grande attention est également due à l’augmentation de témoignages de patients de cannabis médicinale et de leurs médecins. Néanmoins, malgré cet afflux de rapports anecdotiques, la plupart des investigations modernes de cannabis médicinale reste limitée à des études précliniques (sur animal) de cannabinoïdes individuelles (THC par exemple, ou le cannabidiol) et/ou à des agonistes de cannabinoïdes synthétiques (par exemple le dronabinol ou WIN 55212-2) plutôt que des essais cliniques impliquant le matériel végétal dans sa totalité.

Comme la recherche clinique dans la valeur thérapeutique des cannabinoïdes a proliféré exponentiellement, il en va de même pour la compréhension des enquêteurs sur les capacités remarquables du cannabis à lutter contre la maladie. Pendant que les chercheurs dans les années 1970, ’80, et ‘90 principalement estimaient la capacité de cannabis de temporairement soulager divers symptômes de maladie – tels que les nausées associées à la chimiothérapie du cancer – les scientifiques aujourd’hui explorent le rôle potentiel des cannabinoïdes dans la modification dans la progression de la maladie. D’un intérêt particulier, les scientifiques examinent la capacité des cannabinoïdes de modérée les troubles auto-immuns tels que la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde et la maladie intestinale inflammatoire, ainsi que leur rôle dans le traitement de troubles neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et la sclérose latérale amyotrophique (alias la maladie de Charcot).

Des enquêteurs étudient également les activités anticancéreuses du cannabis, vu qu’une augmentation de données précliniques et cliniques conclut que les cannabinoïdes peuvent réduire la propagation des cellules cancéreuses par apoptose (mort programmée des cellules) et par inhibition de l’angiogénèse (la formation de nouveaux vaisseaux sanguins). Sans doute, ces dernières tendances représentent des applications thérapeutiques de cannabinoïdes beaucoup plus large et plus important que les chercheurs auraient pu imaginé une trentaine ou même une vingtaine d’années. »

Ce rapport vise à fournir cette guidance en résumant les recherche scientifique publiés récemment (2000-2008) sur l’usage thérapeutique du cannabis et des cannabinoïdes pour 17 indications cliniques distinctes:

  • La maladie d’Alzheimer
  • Sclérose latérale amyotrophique
  • Le diabète sucré
  • Dystonie
  • Fibromyalgie
  • Des troubles gastro-intestinaux
  • Gliomes
  • Hépatite C
  • Virus de l’immunodéficience humaine
  • L’hypertension
  • Incontinence
  • La sclérose en plaques
  • Ostéoporose
  • Prurit
  • Polyarthrite rhumatoïde
  • L’apnée du sommeil
  • Le syndrome de la Tourette

Dans certains de ces cas, la science moderne maintenant affirme des rapports anecdotiques de longue date d’usagers de cannabis médicinale (par exemple, l’utilisation du cannabis pour soulager les troubles gastro-intestinaux). Dans d’autres cas, cette recherche souligne le nouveau potentiel d’utilités clinique pour les cannabinoïdes (par exemple, l’utilisation des cannabinoïdes pour modifier la progression du diabète).

Source: Norml.org